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Burkina Faso:l’histoire Dagara Migrations et Conquêtes des Terres

Il y a longtemps, les Dagara-Wule chassèrent les Jâ de Cungbunyo au Ghana près de
Nandom (où ils étaient installés) et s’installèrent sur leur territoire auquel ils donnent
le nom dagara de Tuo-pèr. La raison du plus fort faisait la loi en matière domaniale.
Une fois le terrain conquis, la terre a une destination universelle selon l’usage et selon
le principe sacré dagara que la terre ne se refuse à personne « tisow bè sibr è ».

L’histoire des migrations montre le Dagara, comme démontre l’étymologie linguistique de son nom, un homme allant ou partant, un homme toujours en train de
partir, de lever le camp vers d’autres horizons inconnus. Les Dagara forment un
groupe culturel patrilocal exogame pèlerin. Leur écosystème est un ensemble d’êtres
vivants (corporels ou spirituels) et un ensemble d’éléments non vivants qui leur sont
associés vitalement en un système global de société régie par un ensemble de lois et
de règles sous forme d’institutions acceptées par tous les membres du groupe social.
Leur univers est l’ensemble de tous ces éléments biotiques et abiotiques d’êtres
vivants matériels et spirituels bons ou mauvais (kotomè) visibles et invisibles,
constamment en interaction les uns avec les autres. Ils sont des agriculteurs éleveurs toujours en quête d’espaces verts et fertiles pour l’agriculture et l’élevage.

Ils habitent au nord de la mer à Accra. Une inondation a causé l’éclatement du groupe. Les habitants ont été obligés de s’enfuir vers Kumassi où dominaient les Wmampursi, Wmâplinpê qui les avaient accueillis à bras ouverts. Ils se trouvaient sous la domination de ce roi. Quelques années plus tard, ils retournèrent à leur lieu
d’origine à Kumassi où ils vivent jusqu’à nos jours. La plupart des Dagara sont
restés à Kumassi sous la domination de Wmaplinpè.
A la longue, un des cousins du roi avait voulu faire un coup d’état au roi pour le
détrôner. Le roi n’avait rien dit mais pour montrer à son cousin qu’il n’avait rien
contre lui, il envoya tous les Dagara sous sa domination à Wanki, Boualè, Wa et
Tamalé avec des fusils à pierre, à capsule et même des fusils perfectionnés qu’il
achetait à Londres. Parmi ces guerriers dagara qui devaient faire barrière pour faire
front contre son cousin, il y en avait un en qui le roi avait une confiance absolue. Il lui
confia le leadership de toute sa troupe contre son cousin avec toutes les munitions
nécessaires cachées sous une colline bien damée. En effet, l’armée du roi avait sous
sa tutelle tous les villages ou villes ci-dessus cités. Arrive après coup le cousin du roi
avec son armée.

Cet homme dagara, bras droit du roi, qui avait des armes de toutes catégories avec
leurs munitions, avait conduit l’adversaire du roi, son propre cousin au lieu-dit où les
armes et les munitions étaient cachées. Le cousin du roi prit possession de ce lieu
avec ses troupes. Cet homme dagara qui avait trahi le roi, pensait et ambitionnait de
devenir un grand guerrier un jour dans tout le Ghana, en cas de victoire du cousin du
roi. Le roi Primpè était féticheur et son cousin musulman.
Dès le déclenchement des hostilités, les Dagara fidèles au roi prirent la fuite tout
en gardant leur religion fétichiste à la suite du roi Primpè, et s’éparpillèrent dans
l’intérieur du Ghana. De ce fait, ils furent sans cesse en mouvement vers de
nouvelles terres, et d’espaces fertiles à conquérir. Ils sont devenus un peuple
sédentaire après la pacification et la conquête coloniale au contact avec d’autres
peuples avec lesquels ils sont obligés de composer.

Comme les Dagara ne peuvent vivre sans chef de file sur qui ils modulent tout leur
comportement, ils élirent un chef. Ce dernier s’appelait Samble ; ce sont les enfants
de ce dernier qui défendront la race Jâ (Dyan) contre les Dagara-Wule.
Ils chassèrent les Jâ de Cungbunyo au Ghana près de Nandom et s’installèrent sur
leur territoire auquel ils donnent le nom dagara de Tuo-pèr. La raison du plus fort
faisait la loi en matière domaniale. Une fois le terrain conquis, la terre a une
destination universelle selon l’usage et selon le principe sacré dagara que la terre ne
se refuse à personne « tisow bè sibr è ».

LA GUERRE REGIONALE DE JIKOLO ENTRE ETHNIES
Les Dagara comme les autres, ont affronté la guerre des Djerma au cours de laquelle il y a eu des massacres et une partie des Dagara traversa la Volta Noire en même temps que des jâ, des Lobis et des Birifors.

Origine de l’amitié indéfectible entre Dagar-Lobr et Jâ
Au cours de leur étape migratoire, les groupes ethniques composés de Dagara-Wule ou wiile, de Lobis, de Birifors et de jâ, passèrent par Bilbaalè anciennement appelé
Mwolobadougou ou Bibaal-tégue. Le nom Bilbaalè actuel aurait été donné en 1922 par le commandant Berté et un auxiliaire de l’administrateur colonial, inspecteur des
viandes de la colonne de l’ armée française (probablement Suukûu Kpowda sir Sékou
Somé, infirmier vétérinaire de l’époque à Diébougou : fait confirmé par des notes
manuscrites retrouvées après sa mort en 1977). De Bilbaale, ils arrivèrent à Jikolo où éclata une guerre tribale entre ethnies dans laquelle les Lobis, les Birifor, les
Dagara et les Jâ s’entretuaient. Les Dagara-Wule avaient identifié les mêmes Jâ
qu’ils avaient chassés à Tuo-pèr au Ghana avec leurs flèches empoisonnées.

Cette fois-ci il n’est plus question de les chasser, il faut les exterminer. Ces tireurs
d’élite, les Dagara-Wiile ou Wule étaient décidés en alliance avec les autres ethnies,
les Lobis et les Birifors, d’en finir avec cette race Jâ. Et c’est là que le groupe
dagara se scinda en deux. Certains (les Dagara Lobr), trouvaient que les Jâ étaient
des êtres humains comme eux. D’autres (les Dagara-Wule), qui les avaient chassés de leurs terres au Ghana à l’étape de Tuo-Pèr,
trouvaient qu’ils n’ont plus de raison de continuer à exister et à cheminer avec eux.
Il fallait les exterminer une fois pour toutes de la terre. Cette vision de conception
divergente, provoqua une scission du groupe dagara. Les Dagara-Lobr se
démarquèrent de leurs frères Dagara-Wiile (Wule), vu les massacres qu’ils faisaient
dans le camp des Jâ. « Arrêtez, ce sont des êtres humains comme nous. » Dit Bramaar de Dissin, chef de file des Dagara-Lobr. Et pour défendre les Jâ, Baakumè, une
grande figure Dagar-Lobr pour combattre et refouler les Dagara-Wule des mains
des Jâ. C’est ainsi que les Jâ furent sauvés. C’était la deuxième guerre régionale
entre les ethnies migrantes avant la conquête par les Européens en l’occurrence des
Français.

La première guerre régionale était celle des Djerma contre toutes les autres ethnies
confondues et au cours de cette guerre les Jâ ont trouvé encore comme alliés, les
Daga-Lobr avec à leur tête les nommés Bra-Maar et Baakumè, chefs de file du
groupe Dagara. C’est l’origine de l’amitié indéfectible entre Dagar-Lobr et Jâ qu’on
verra plus tard dans leur coexistence pacifique sur la terre de Diébougou avant
l’arrivée du Blanc et après la conquête de Diébougou par les Français jusqu’à
l’avènement de la politique moderne. Après l’indépendance, cette politique moderne
a opéré des scissions et des oppositions voire une fracture sociale et une division
associée à une très grande haine entre ces deux ethnies dans le Sud-Ouest de la
Haute-Volta. (...)
Après la deuxième guerre régionale entre ethnies, une partie des Dagara-Wiile ou
Wule se dirigea vers Dano, Guegere et Oronkua. Certains firent route avec les
Dagara-Lobr, traversèrent la Bougouriba et s’ installèrent à Laamwâa et Bapla.
Tandis que tous les Dagara-Lobr s’établirent à Diébougou. C’est ainsi que beaucoup de Dagara-Wule, dès la traversée de la Volta Noire (Mouhoun), et de la Bougouriba,
s’établirent directement à Laamwâa et Bapla et les Birifors à Sie-gâwn et à Batié.

Arrivée des Waale, installation des DagaLobr à Diébougou
C’est plus tard qu’arrivèrent ensuite les Waala appelés Waale par les Dagara, ceux qui arrivèrent de Wa. C’était des Dagara authentiques convertis à l’Islam, qu’on
appelait à Diébougou : Dagara-Jula. Ils seraient à l’origine, des Dagara du Dowru, des Naciele, de Kasawra. Les Jâ traversèrent les premiers la Volta
Noire (Mouhoun), puis ils traversèrent Diébougou rapidement dans une course
affolée et effrénée par crainte des représailles des Dagara-Wule et s’établirent à
Dolo et Wâ, suivis de très près par les Dagara-Lobr, toujours à la recherche des
bonnes terres cultivables. Arrivés à l’entrée de Diébougou, le chef de file des
Dagara qui se prénomme Baakume trouva une rivière (marigot), sans la traverser par peur idéologique. Pour rejoindre Diébougou, il conclut d’abord un pacte d’alliance et de solidarité avec toutes les puissances forces telluriques du marigot qui se trouve à l’entrée de Diébougou, pour avoir leur faveur. Puis il sacrifia à l’esprit du marigot
avant de le traverser. Ayant fait une bonne traversée sans problème jusqu’à
Diébougou, il rendit grâce à toutes les puissances, forces spirituelles du marigot
(caïmans, reptiles divers et génies habitants du marigot).

Puis il s’installa avec toute sa suite comme chef de terre dagara allant du marigot d’Ouest en Est à partir du marigot comprenant toute l’étape parcourue depuis le Ghana jusqu’ à Diébougou. Vaste zone pastorale « Têwgan Dagara », appelée « Dagara Têw » dont le marigot sert de frontière naturelle allant de Diébougou à Jikolo, Dano, Kowper, Dissin et au-delà de la Volta Noire (Mouhoun) jusqu’à Nandom au Ghana.
Les Dagara de Diébougou appellent tous leurs parents habitant dans cette vaste
zone pastorale « Dagara Têw-gan », Dagara peri dem ou Man-gâw dem. Ce marigot
frontière est toujours appelé aujourd’hui encore à Diébougou « Dagara kula »
(marigot des Dagara) ou « Aasire kula » par les Dagara de Diébougou et « Dagarikuo » par les Dagara-Jula de Diébougou et « Dabuo » par les Jâ de Diébougou.
Parvenues dans le territoire de Diébougou, certaines familles (les Birifors),
continuèrent avec les Lobis sur Sié-Ure-gawn, Lokpojà où elles s’installèrent. Les
Lobis continuèrent vers le Sud où certains s’arrêtèrent à Iolonioro, pendant que le
gros de la troupe se dirigea vers Bouroum-Bouroum, Gaoua, Kampti et Loropeni. Plus tard, certaines familles lobi et birifors qui s’étaient coupées du groupe, revinrent
sur leurs pas et s’installèrent à Diébougou avec les Dagara et les Jâ.

Les migrations se faisaient par grandes familles « Yie-dowru » et c’est par Bekuone
Some Baakume de la grande famille des Bekuon-Dacari que les Daga-Lobr
s’installèrent à Diébougou. En faisant un pacte d’alliance et de solidarité avec le
marigot à l’entrée de Diébougou, Baaklume s’était réconcilié avec toutes les
puissances forces spirituelles de ce cours d’eau, avec tous ses habitants (reptiles,
poissons, caïmans etc..). Il était devenu chef de terre de l’esprit du marigot et de
cette zone territoriale au-delà du marigot pour gérer la terre au profit de tous les
arrivants futurs.
Certains sociologues comme Jack Goody appellent cette zone rituelle " une zone
pastorale". C’est ainsi que depuis cette cérémonie cultuelle historique de Baakume
Some, ce dernier s’installa sans crainte avec sa famille et toute sa suite. Baakume
Some vécu en harmonie et très bonne intelligence avec tous les migrants : les
Lobi, les Birifor et les Jâ revenus de Dolo et avec toutes les familles arrivées
par la suite suivant l’adage dagara que la terre ne se refuse à personne " Têw-sow
bè sibr e « et que c’est le concours des peuples et des races qui fait le village »
zo-paal ni têw ". Une grande amitié fut solidement nouée dans une coexistence
pacifique entre toutes les ethnies et races venues du Ghana dans un respect
mutuel des domaines des compétences réciproques. Il y eut entre Jâ et Dagara en particulier, une coexistence pacifique sans problème du temps de Olegbana
jusqu’à ce qu’un jour, Baakume fasse venir auprès de lui ses deux frères Zuru Some
et I-Ter Some installés chez les Birifors à Sié-Ure-Gâwn, Loto et Kpakpara. Cette
mutation fut faite par Baakume qui craignait l’assimilation Lobi et Birifor de leurs
enfants Dagara chez les Lobis et les Birifors. (...)

Depuis ces évènements historiques, il n’y avait plus jamais eu de bagarres se
dégradant en conflits armés entre Dagara et Jâ mais des rapports de coexistence
pacifique et paisible, empreints de courtoisie et de respect mutuel. Mais plus tard
ces bons rapports scellés par les ancêtres se dégraderont avec les premiers
intellectuels Jâ et mes premiers intellectuels Dagara avec le vent de la démocratie
moderne en politique d’une part et les problèmes de personnes et de leur volonté de
puissance de domination entre intellectuels d’autres part.

Tiré de (avec son aimable autorisation)
« La terre dagara au Sud-Ouest du Burkina Faso », Fascicule II
Diébougou septembre 2009
Abbé Bèkuonè Some Der Joseph Mukassa, Docteur ès Sciences Sociales
expert en sociologie du développement
Téléphone cellulaire : (00 226) 70 28 49 40
Téléphone fixe : (00 226) 20 90 53 85
Courriel : mukassa.some@gmail.com
burkinafaso-cotedazur


8 Commentaires

  • Pour un curé vous êtes veule et menteur. Dites qui est le chef de terre de Diébougou, expliquéz pourquoi il y a autant de Dagari dans la curaille ? Vous étiez sustitueé aux petits Djans qu’on cachaient dans les gréniers car vous étiez les plus faibles. Le livre du « Tribu du rameaux Lobi » est édifiant sur votre veulerie et votre collaboration ; la preuve vous ne faites pas l’initiation du Djôrô avec les propriétaires de la terre.
    Djipolko, terminologie Djan toujours utilisée signifie le pays est gâté pour votre gouverne. Ce n’est pas de cette façon que vous pourrez remonter dans l’estime des Djans qui vous appellent toujours gbê toriya dja. A bon entendeur fils d’esclave salut.


  • Impressionnant.j’ai beaucoup appris.ça ma enrichit


  • Ce monsieur est un grand danger pour la République et pour la cohésion sociale au sud-ouest. j’ai honte pour un lui avec ses soi-disant qualités exposées en termes de connaissance ;
    Ce monsieur est un menteur et manipulateur de conscience de la jeunesse que nous sommes. la vérité ne peut être cachée même par un Curé, un expert en sociologie et Docteur es sciences sociales. Demandez lui pourquoi, ils ne perçoivent plus les taxes (coutumiers) sur les terres de la rive gauche en quittant Diébougou pour Djikologo ? Il a des fins inavouées avec des méthodes qui frisent la bassesse intellectuelle.


  • Attention à la manipulation de l’histoire pour se donner bonne conscience. Ce récit est truffé de trop de points d’ombre pour être vrai.


  • Ce type méconnaît l’histoire du sud-ouest... C’est un ignorant religieux !!!


  • Je me demande si la bagarre entre intellectuels djans et dagara dont l’auteur a fait mention n’est pas en train de se faire sur ce forum encore. Cette réflexion a quand même le mérite d’être un travail de recherche, qui dit recherche parle de quête de la vérité, et ce n’est presque jamais un acquis total, surtout sur ces questions ou la source d’information est basée sur l’oralité. Et selon les informateurs et leurs motivations, on peut facilement rapporter des choses qui a la limite fâchent comme c’est le cas ici.
    Ceux qui décrient cet article semblent bien connaitre l’auteur et ses supposées motivations profondes, moi pas. Je ne saurai donc y porter un jugement de valeur. Mais la ou je reste sur ma soif, c’est quand on ne donne pas d’autres sources d’informations ou encore nuancer ce qui est déjà dit par d’autres versions des faits ici rapportés. Il y’ quelqu’un qui dit par exemple de demander a l’auteur pourquoi les dagara ne perçoivent plus les droits coutumiers sur la rive gauche et se sont replies sur djikolo ? La rive gauche c’est ou ? Cote djan « Olleguannaso » ou cote "baagane’ ? Je sais que le droit coutumier continue d’etre percu par les chefs de terre dagara cote baagane et et les chefs de terre djans cote diebougou centre en allant, et les limites sont connues des deux chefferies. Une telle question fait très ambiguë donc.
    Je pense que le débat serait plus constructif si les critiques étaient suivis d’autres versions sur des points précis ou d’autres sources d’informations telles que les travaux de Valère SOME. J’ai suivi une communication de Valère SOME en 2008-2009, lors d’une conférence organisée par l’association Nobiel, je pense ou Pobiel, je ne sais plus, c’est une association pour la promotion de la culture djan. A cette conférence, tous ont été édifiés et d’accords avec la communication, aussi bien les djans que les dagaras et je pense que c’est cela la voie de la recherche de la vérité qui devrait avoir pour objectifs d’éduquer et édifier la jeunesse actuelle plutôt que de rechercher une supériorité ou je ne sais quoi ceci ne fera que fragiliser la cohésion et la cohabitation pacifique que nous autres avons constatée jusque-la, sauf si ce n’est que pure hypocrisie des uns et des autres.
    Un intellectuel qui ne fait pas l’effort de se mettre au-dessus des considérations partisanes, ethniques, claniques, familiales et a la limite politiques, ne peut vraiment pas être utile a sa communauté, sauf pour la pousser sur la voie de l’auto-destruction.


  • Bonjour !
    Merci de bien vouloir éclairer ma lanterne concernant le clan Waalè( famille:Abbé Élie SOMDA) et les waalè habitant de la ville de WA au GHANA ?
    MERCI D’AVANCE !!


  • j’ai apprécie l’article de M. l’Abbé bien que ne connaissant pas grand chose sur l’histoire et les origines des peuples du sud-ouest.Si je suis tombé sur cette page c’est étant en quête de connaissances sur un certains nombre de chose concernant les plus du sud-ouest.M. l’Abbé a eu l’audace de faire des recherches dans le but d’éclairer nous qui cherchons a connaitre.Peut-être qu’il y a des erreurs,des manquements dans ce qu’il a détaille,mais l’attaquer de la sorte comme un vulgaire clochard ?Je dis non A tous ceux qui ne sont pas d’accord avec ce qu’il avance.Même dans le domaine des sciences exacts il y a des ratés, des vérités d’hier rejeter en bloc aujourd’hui.Ce n’est donc pas dans les sciences sociales qu’on pourra avoir du 1+1 donne 2. Apportez vos arguments pertinents qui montre qu’il ment. Étayez-les, expliquez-les à nous qui cherchons a comprendre.C’est en ajoutant de la terre a la terre que l’on pourra enfin réécrire l’histoire de la région du sud-ouest et par ricochet de tout le Burkina pourquoi pas de toute l’Afrique.Merci, Abbé Bèkuonè Some Der Joseph Mukassa, full respect Dieu vous bénisse

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